« Les jeunes femmes se sont-elles fait violer ou ont-elles été violées ? » Depuis le début de l’affaire Weinstein, beaucoup d’auditrices, mais aussi d’auditeurs, sont très sensibles à la façons de s’exprimer sur nos antennes… Quand on dit « elle s’est fait violer », n’induit-on pas une volonté ?
Réponse avec Pierre Manen, linguiste et maître de conférence à l’Université de Saint-Etienne.