Je souhaite remercier chaleureusement et vivement Nicolas Martin pour la série Un été en Antarctique que j’avais découverte l’été dernier, et que je savoure de réécouter en ce moment. Ce sentiment de confinement dans l’immensité doit être bien étrange, et peut-être que ce que nous vivons aujourd’hui sur cette planète doit s’en rapprocher, les manchots en moins ! Votre émission formidable m’a bouleversée l’été dernier, et je suis toujours autant émue à la réécoute. J’avais déjà une attirance pour le cercle polaire, j’en fais désormais une presque obsession, à l’idée de pouvoir peut-être un jour y faire mon expérience à la fois humaine, environnementale et intérieure. En attendant de pouvoir partir à bord de l’Astrolabe ou d’un autre brise-glace, je travaille mes propositions de projet chorégraphique aux TAAF et je réalise des aquarelles du pack. J’aimerais vous en envoyer une en guise de partage mais je ne sais pas comment vous faire parvenir l’image. Bonne suite à vos créations et à vos partages si éclairants, et encore bravo. Merci !

(France Culture)

Bonjour France Inter un amour de radio, On félicite ces derniers et à juste raison le personnel hospitalier mais moi j’applaudis également le personnel de France Inter toujours debout et toujours présent tout au long de cette épreuve. C’est vrai que les voix à la radio c’est une grande présence dans les foyers. Rien que d’imaginer des personnalités merveilleuses transportées, par les ondes….. Et ces voix qui sont des mondes à explorer celle de Guillaume Gallienne si poétique, Augustin si romantique, Charline gouailleuse chaleureuse espiègle, Ali Badou, à l’écoute et patiente, Nicolas Demorand si dynamique ! (France Inter) 

Je tiens à remercier France Musique de nous faire des programmes très intéressants, j’écoute tout le temps !! Ce qui est plaisant c’est d’avoir de la diversité musicale, j’avoue que je suis cependant un peu « timide » avec la musique contemporaine. Bref, merci à toutes et tous, et prenez-soin de vous!! (France Musique)

Quel bonheur d’entendre à nouveau la voix de Guillaume Erner et des autres journalistes des Matins de France Culture ! J’attends avec impatience le retour du reste de la rédaction. Merci (France Culture) 

Un grand merci à toute l’équipe de France Inter et pour cet exceptionnel 7/9 culturel de ce jour, ça fait du bien. J’espère que la suite sera bien aussi.   
Je suis Suisse et Allemande (pas Suisse-Allemande !) et par proximité et culture, très liée à la France. L’homme de ma vie est franco-béninois, poète, historien, écrivain et essayiste, fan de France Inter.  Lui est actuellement confiné au Bénin.  
Je vous adore presque tous, Nico et beaucoup d’autres :  
– Léa, Mathilde, les 2 Ali, Dorothée, Matthieu, Fabienne … oh, il y a plein d’autres, mais j’aurais de la peine d’en oublier.   
Mais, ma chouchoute est … Laetitia Gayet  
(France Inter)  

Je suis sur la côte Vermeille en Roussillon, ces quelques mots pour vous dire que l’entrée dans le confinement m’a fait découvrir France Musique, cette radio que j’écoute dès mon réveil, j’aime aussi le moment du Jazz……..C’est reposant et me détache des infos en boucles qui à la longue devient stressant …..A l’avenir ce sera  la radio préféré  
Remerciements pour ces bons instants 😊 (France Musique) 

Bravo à vous toutes et tous, vous êtes excellents la plupart du temps et en ces temps de confinement plus encore qu’au quotidien vous êtes vraiment nécessaires, vous êtes les soignants des gens comme moi pas encore malade par le virus mais exposé à un tout autre danger identifié mais difficile à circoncire et écarté. (France Inter) 

Cher Augustin,  Je vous écris pour vous dire merci. Merci d’illuminer notre journée par votre voix qui porte tous ces mots si bien choisis, par vos intonations qui nous invitent dans d’autres vies, délicatement ornées de discrètes sonorités musicales. Chaque matin, à 8h55, on a rendez-vous, on veut être surpris, on se prépare, et ça marche à tous les coups.  Chaque lettre est différente, bien sûr, tellement révélatrice de son auteur. Et l’émotion est toujours là, celle de la découverte d’abord, mais c’est vous qui savez transmettre profondeur et légèreté, désespoir et humanité, fantaisie et vérité à travers ces mots animés.  Dans le flot d’analyses, d’informations, d’élucubrations, rien n’est plus vrai que ce moment de la matinée, ce temps de partage littécoronaire avec vos auditeurs.  On se croit privilégié, on l’est. On est très nombreux à vous écouter. On remercie les soignants et les aidants en tous genres, alors on peut vous remercier, les mots soignent, ils nous « encrent » dans notre présent, ils nous éloignent, le temps d’un instant, des prédictions, des incohérences, des malheurs, de la peur. Merci par votre lecture de mettre en exergue l’art de l’écriture. Art majeur. Les auteurs disent ne plus pouvoir écrire, les lecteurs disent ne plus pouvoir lire, vous esquivez, vous les réconciliez tous, de la plume à l’oreille. Que de merveilles !  Merci Augustin, à vous, votre équipe, prenez tous bien soin de vous et de vos proches, et continuez à nous aider, en éclairant nos matins. (France Inter) 

Merci à tous, présentateurs (trices), producteurs (trices), techniciens (tiennes) et tous ceux et celles qui continuent à nous fabriquer cette belle radio confinée chez eux. Ça ne doit pas être facile, mais c’est très réussi. Nous embrassons très fort toute ces personnes. (France Musique) 

Votre hommage à Idir sur le site de France Culture était tout à fait émouvant. Il reflétait parfaitement la personnalité attachante de cet artiste et le sentiment de tristesse qui a envahi une très large communauté de femmes et d’hommes qu’il a su toucher et émouvoir en Algérie comme à travers toute la planète, par-delà les frontières et par-delà les cultures. Si je tente de vous écrire ici (j’espère que ce message vous parviendra), c’est juste pour vous dire que « A vava Inou Va » n’est pas une berceuse, mais une complainte chantée (O Papa mien Pa) qui accompagne le récit d’un vieux conte kabyle, l’histoire de Ghriva et du Lion. Une histoire qui a été répertoriée dans le recueil « Volksmmärchen der Kabylen » par l’ethnologue allemand, Léo Frobenius, au début du siècle passé Ce recueil, traduit en français par Mokrane Fetta, a été publié sous le titre « Contes Kabyles » en quatre volumes, par Edisud, en 1997. Le conte d’A vava Inu Va ou de Ghriva et du lion, figure au troisième tome de ce recueil, page 163, et porte le n°33. Il faut ajouter qu’un des mystères qui est à la base du succès de cette chanson, en dehors du talent de l’artiste qui l’a chantée et celui de l’auteur qui en a composé les paroles (le poète Benmohamed), c’est ce que dit en filigrane le conte sur le statut de la femme de chez nous : Ghriva est la fille faible et menacée que le père (et ses quatre fils) croit vouloir protéger, alors que c’est lui qui est enfermé et que c’est elle, personnage puissant et libre, qui va à son secours. Avec ma sincère admiration pour le travail que vous faites, cher Tewfik Hakem et pour votre émission « Réveil culturel » qui nous manque quelque peu depuis que cette satanée pandémie est venue bouleverser les programmes de France Culture. (France Culture) 

Je prends connaissance tardivement de la programmation de midi sur France culture. Je me sens honteuse. Félicitations pour la qualité des programmes et leur intelligence. Le service public est vraiment merveilleusement rendu… Je vais écouter en podcast pour rattraper mon retard 🙃 Encore MERCI MERCI MERCI pour le réveil des consciences. (France Culture) 

Je veux vous remercier. J’ai renoué avec la philosophie grâce à vous. Moi qui avais une image poussiéreuse et faussée de cette discipline, vos émissions m’ont permis de réaliser que la philosophie est vivante et qu’elle ne se résume pas à des débats conceptuels qui n’ont d’autre intérêt que purement théorique. À l’écoute des « chemins », j’ai assouvi ce besoin pressant de penser que je ressens en cette période déstabilisante. J’ai notamment découvert Emanuele Coccia et Claire Marin. Je vais m’intéresser de plus près à leurs travaux. Donc un grand merci. Et bon courage. (France Culture) 

Ce petit mail bref pour vous exprimer à quel point j’apprécie l’intelligence et l’empathie de votre émission Grand Bien vous fasse que j’écoute aussi souvent que possible. Bravo pour le ton, le choix des invités, les thématiques, la réflexion, sans hiérarchie des éléments retenus !   
Merci, donc. (France Inter) 

Mme Bernardeau, C’est toujours un plaisir de vous écouter. Vous faites honneur à la radio. Les interviews avec vos différents interlocuteurs sont excellentes ! On sent que vous êtes vraiment à l’écoute et vos questions ne sont pas « mitraillées » mais font suite à ce que l’invité veut expliquer. Vous savez écouter et j’ai l’impression que vous connaissez tous les sujets qui sont abordés car avec vos mots vous rebondissez sur ce que l’invité a abordé (les sujets sont parfois complexes). Vous êtes pointilleuse lorsque vous posez vos questions. Vous ne coupez pas la parole à vos interlocuteurs. D’autres journalistes sur votre antenne le font malheureusement et posent leurs questions à la chaine sans avoir compris ce que l’invité a expliqué. Vous prononcez les mots de façon rigoureuse. Votre voix est très agréable, vous ne prenez aucun accent (parisien notamment avec le désagréable « é » qui devient « è » avec beaucoup de personnes qui n’ont pas compris à l’école la phonétique des accents). On sent votre sourire derrière vos paroles. C’est réellement un bonheur de vous écouter lorsque vous êtes à l’antenne car vous parlez sans stresser nos oreilles. J’aime aussi vos petits mots d’humour.  Au plaisir de vous écouter ! (Franceinfo)