Je tente de vous écrire car nous avons un dilemme que nous n’arrivons pas à résoudre.
Je le dis si la radio peut aider. Rien de grave mais extrêmement agaçant.
Mais on ne sait jamais, si cela peut faire l’objet d’un sujet radiophonique...

Je travaille dans une association de commerçants. J’aide à comprendre par exemple la réglementation juridique. J.ai posé une question simple auprès des services de la préfecture : les supermarchés peuvent ils vendre des ustensiles de cuisine en cette période de ré confinement. C’est la DDPP compétente pour répondre et voici sa réponse : oui car ces objets sont considérés comme de la quincaillerie.

Comme les quincailleries peuvent ouvrir, je pose dès lors la question si les magasins qui vendent uniquement des ustensiles de cuisine sans alimentaires peuvent ouvrir ? La DDPP me répond : encore une fois madame, nous vous rappelons que les ustensiles de cuisine sont assimilés à de la quincaillerie mais que la décision finale d’ouvrir revient à la préfecture. Je pose le même cas de syllogisme à la préfecture qui me répond que la quincaillerie concerne les outils de ménage et de petit bricolage. Sauf que quand je contacte le directeur d’un supermarché, il m.informe que les ustensiles de cuisine sont des outils de ménage et que c’est pour cette raison qu.ils peuvent les vendre ! Bref vous l’aurez compris, un vrai casse tête alors que je demande juste si ce magasin peut ouvrir et je n’ai aucune réponse claire. A chaque fois, il y a échappatoire ou sujet à interprétation. Voilà, ça fait du bien de raconter cette histoire. En attendant, le commerçant va refermer ses portes en attendant qu’on avance sur le sujet...et c’est inadmissible de la part des services de l.état qui ne prennent plus aucun risque , surtout maintenant qu.ils vont être évalués c’est mal barré pour que ça s’améliore...