Mes remerciements pour m'avoir permis d'entendre et d'écouter Monsieur Badinter ce matin. Je ne risque pas la prison pour l'avoir écouté, je ne risque pas que ma maison s'écroule sous les bombes comme il l'a vécu lui-même, et qu'il relate si magnifiquement, et je peux en témoigner sur ma radio préférée sans risquer d'avoir la police sur mon palier. Et je sais de quoi je parle, hier nous étions le 25 avril, jour de la libération de la dictature portugaise, j'étais à Lisbonne, j'avais 18 ans. Ce jour-là j'ai définitivement appris ce que signifiait le mot LIBERTÉ. Bonne journée à tous et Merci Monsieur Badinter.