Je trouve très problématique votre façon de mettre en scène le « duel » entre Gabriel Attal et Jordan Bardella pour les Européennes.
En faisant cela, vous reprenez la stratégie de communication politique des deux intéressés, et vous invisibilisez les autres forces politiques, en particulier la gauche, qui pèse pourtant pour un tiers des voix dans les sondages.
S’il vous plaît, évitez de tomber dans la reprise d’une stratégie politicienne, et informez-nous !
Depuis la nomination du gouvernement, je suis déçue d’entendre parler sur votre antenne d’un parallèle entre Gabriel Attal et Jordan Bardella : encore ce matin dans les journaux, l’un est jeune l’autre aussi, l’un est dans telle ville l’autre dans telle autre.
S’il vous plaît, ne rentrons pas dans cette règle du jeu simplifiée (et simpliste) suivie par les médias en général, qui divise le paysage politique actuel de façon rapide et quasi unique.
Non, les futures élections ne se limitent pas au choix entre M. Attal et M. Bardella, un parti contre un autre. Laissez-nous la possibilité de faire un pied de nez aux sondages et d’oublier pour quelques temps les manœuvres politiciennes destinées à envahir l’espace.
M. Attal ne gagnera pas forcément face à M. Bardella sous prétexte qu’on nous en parle et que cela pourrait éveiller nos consciences. L’inverse est d’ailleurs vrai également.
J’attends de MA RADIO (c’est la mienne !) qu’elle les invite, qu’elle les fasse se présenter, se confronter, dialoguer. Mais pas qu’elle se laisse entraîner dans ce genre de facilité, pas elle… S’il vous plaît…
Ne nous laissez pas croire que les jeux sont faits, laissez-moi rêver un peu et laissez-nous une chance de nous exprimer librement (et nombreux) dans les urnes.
« Qui aime bien châtie bien » ! Merci d’être là tout de même et pour tout !
J’écoute le flash info… pourquoi faut-il mettre en parallèle le planning de Gabriel Attal et de Jordan Bardella ? La même rengaine, c’est pénible… mêmes informations lors du flash de 16 h… Quel est l’effet escompté ? Le « petit jeune » de Macron contre celui de Le Pen… stop !
Je suis un fidèle auditeur et je le resterai. Je me permets de vous faire part d’un traitement d’information, qui m’a choqué. Dans le journal d’aujourd’hui 19/01/2024, l’information concernant l’entretien entre le premier ministre et Jordan Bardella, a été présenté de la manière suivante : “quand le premier ministre d’Emmanuel Macron reçoit le premier ministre de Marine Le Pen ». Outre le fait qu’il s’agit d’une information fausse, si on la considère au sens strict, je ne trouve pas raisonnable de banaliser, voire légitimer certes involontairement, cette hypothèse.
Journal du 19 Janvier 2024, la présentatrice a qualifié Jordan Bardella de “premier ministre » de Marine Le Pen. Elle n’est pas présidente de la République et Jordan Bardella est chef du parti RN. Vérifiez ! Grossière erreur ou propagande outrancière ? Une rectification publique serait bienvenue…
La journaliste qui présentait le journal ce jour a annoncé la rencontre entre Gabriel Attal et Jordan Bardella de la manière suivante : « Quand le premier ministre d’Emmanuel Macron reçoit le premier ministre de Marine Le Pen ». Si Gabriel Attal a été nommé Premier Ministre il ne me semble pas que Jordan Bardella a été nommé premier ministre ou alors par qui ? Ce sont ces fausses informations qui nuisent à la véracité de l’information et font le lit de la désinformation.
Venant d’écouter comme chaque jour le journal, nous avons été particulièrement horrifiés par l’annonce de la journaliste qui évoquait l’entretien entre le premier ministre Gabriel Attal et Jordan Bardella. Ses mots : « Quand le premier ministre d’Emmanuel Macron reçoit le premier ministre de Marine Le Pen » !!
Pour que ce monsieur soit premier ministre, il faudrait que Marine Le Pen soit élue Présidente de la République.
On peut donc se poser la question : France Inter prépare l’élection de Marine Le Pen ? Que doivent penser les milliers d’auditeurs qui écoutaient cette information ?
Je ne comprends pas très bien pourquoi la rédaction de France Culture a choisi de mettre en scène lors des manifestions des agriculteurs la supposée rivalité entre Attal et Bardella dans le cadre plus général des Européennes.