Je tiens sincèrement à remercier Léa Salamé d'avoir invité l'écrivaine Marie Hélène Lafon, ce matin du 19 novembre. Cet échange était empli d'émotion, de reconnaissance de ces femmes paysannes, par la lecture de leurs corps, au travers des mots de Marie Hélène Lafon. Quelques mots aussi sur ce métier de professeur, malmené, mais hautement nécessaire. Et puis la langue de Marie Hélène Lafon, à chaque fois le mot juste, réfléchi, et le bonheur d'entendre l'usage du subjonctif, tellement rare, de nos jours. Je me souviens de Brassens qui avait grand bonheur, lui aussi, à l'utiliser. Merci à vous, Léa Salamé et Marie Hélène Lafon.