Le chanteur Idir, légende de la musique kabyle, est décédé à l’âge de 70 ans samedi 2 mai. Sophia Aram lui a rendu hommage en poème ce lundi 4 mai sur France Inter. Les auditeurs la remercient.

Merci à Sophia Aram pour son poème pour Idir, elle a mis des mots sur ma peine, pourquoi de telles voix sont-elles à ce point inaudibles, cet homme était la générosité, la douceur, l’humanité incarnées…

Merci, Sophia, pour cette chronique qui correspond si bien à ce que j’ai ressenti à l’annonce de la mort d’Idir.

Merci du fond du cœur, tout simplement merci pour cette chronique aux mots justes, très émouvante, vraiment magnifique.

Moi aussi, la voix d’Idir me bouleverse. C’est ma fille qui m’a appris sa mort hier matin en m’envoyant « Tout ce temps j’ai pu garder mon cœur d’enfant ». J’ai pleuré en écoutant la chanson, pleuré ces si belles larmes d’émotion et j’ai pleuré encore, pleuré cette fois des larmes d’un vrai chagrin en découvrant pourquoi elle me l’avait envoyée. Merci pour ce très beau poème.

Merci pour ce poème pour Idir très émouvant et ça y est j’ai la pluie dans les yeux. Manu Dibango Christophe Idir… sale période. Bon courage à vous et merci de nous accompagner tous les jours avec vos émissions de grande qualité.

Merci Sophia, je suis en larmes, mais merci. Votre hommage est une caresse sous la pluie.

Idir a rejoint le paradis des bonnes âmes et des musiciens ; merci pour ce poème sensible qui a touché mon cœur et mon âme,  Ô combien ! Je l’aime ! Je vous embrasse !

Bonjour Sophia, C’est vrai… les rires sont si précieux qu’ils ne méritent pas d’être forcés. Ce matin, vous m’avez mis de la pluie dans les yeux, avec votre poème, si beau, si beau. Avec vous dans vos pensées pour Idir.

A l’annonce de la mort du chanteur Idir samedi dernier, j’ai éprouvé une grande tristesse. Je me suis sentie seule. Un immense merci à Sophia Aram d’avoir accompagné ma peine à travers son si beau et tendre poème hommage à Idir.

Merci madame pour ce très beau et très touchant billet. J’ai eu la chance de le voir en concert, il y a plus de trente ans et sa gentillesse, son humanité, sa générosité est encore gravé dans mon souvenir. Merci à vous aussi pour qui vous êtes, vos billets, vos spectacles. Je vous découverte dans votre (premier ?) spectacle de la directrice d’école, en vidéo et j’ai eu le grand bonheur d’assister à votre « Crise de foi » à la salle Alizé à Guipavas. Ne lâchez rien. 

Merci Sophia Aram Sachez que vous êtes encore plus belle. Lorsque votre voix grave et en poème entonne ce chant à la mémoire d’Idir! Votre poème dit juste ce que mon cœur voulait pleurer hier. Je suis restée- en arrêt ce matin pour mouiller mes yeux avec vous et tous ceux qui….  » Il doit beaucoup pleurer dans les cœurs  aujourd’hui. Même si vos billets d’humour rebelle

Quel superbe et si émouvant hommage à cet homme auquel nous étions attachés , lui qui aimait la Bretagne où il s’était produit à plusieurs reprises. Merci Sophia Aram!

Bonjour Sophia, j’aime énormément vous écouter tous les lundis. Je ris beaucoup j’apprécie ce que vous dites vous avez les yeux grands ouverts sur cette réalité. Je vous ai vu en spectacle 2 fois à LYON. A chaque fois j’étais très heureuse en ressortant. Ce matin vous m’avez fait pleurer votre poème m’a touché au plus profond de moi. J’aimais beaucoup IDIR, que j’ai vu lui aussi en spectacle à Lyon. Continuez à adoucir nos vies et bien sur  à nous faire rire. Merci encore

Merci Sophia, Idir est parti je ne le connaissais pas, mais quand même je le connaissais mieux que ceux dont je ne partage pas les principes et que côtoie chaque jour. J’ai de la peine. Il était la voix de la liberté, cette voix nous continuerons de l’entendre par votre voix et nous continuerons de la répéter.

Bonjour Sophia, je fais suite à toutes vos « chroniques » sur la « FranceInter », et plus particulièrement celle de ce jour, en hommage à Idir… qui vient de nous quitter. Je vous félicite pour votre verve, et votre libre pensée. J’imagine qu’il y a beaucoup de « crétins » qui exècrent vos interventions du lundi. Chère Sophia, ne changez rien, et encore merci pour votre talent, à bousculer certains et certaines dont la « petitesse d’esprit » pourraient, un jour, nous apporter des jours sombres. Encore bravo à vous. 

Sophia vous me faites souvent « hurler » de rire (je me suis promis d’aller vous applaudir en direct si je le peux bientôt) aujourd’hui vous m’avez fait pleurer « tout court » mais MERCI MERCI pour ce poème dédié à cet homme magnifique.

Merci Sophia pour ce magnifique poème plein d’amour et de sincérité. Ici au Pays Basque on n’a pas la pluie mais le soleil qui n’a pas empêché mes yeux de s’embrumer à votre écoute. Je ne connais pas bien Idir mais je suis sur que c’était une trés belle personne. Ne changez rien, continuez à manier les mots, l’humour avec autant de talent. Encore Merci Sophia 

Très belle chronique sur Idir. Belle et émouvante. Bravo. Émouvant était aussi le concert à Pantain de 2005. Je l’ai réécouté hier matin. Les paroles en arabe et kabyle me sont incompréhensibles. Et pour autant, la mélodie et la voix transportent. Un très bel artiste qui nous a quitté. Une pensée pour lui et ses proches.

Merci Sophia, merci pour ce si joli hommage!

Tellement beau ! Je te rejoins dans ton émotion. Ma chère Sophia.

Bonjour, un ami vient de me communiquer le bel hommage de Sophia  au chanteur kabyle Idir. Félicitations pour cet hommage plein de respect et de tendresse pour un poète, chanteur et musicien dont les mélodies  en cette période de confinement font le tour du monde. Comme je suis croyant, que j’ai eu l’occasion à plusieurs reprises d’inviter et de rencontrer Idir en Bretagne.Comme Sophia dimanche j’ai pleuré et prié. Il se trouve que l’évangile du jour était une parabole sur  le berger qui de la voix peut guider son troupeau vers d’abondants patûrages… Oui comme Sophia je crois que la voix poétique et mélodieuse de Idir continuera de nous interpeller et de nous encourager à défendre des idées sans recourir à la violence. Bon courage à vous et Merci pour ce bel hommage. Rappelons nous: Idir en berbère veut dire Il vivra. Ses belles mélodies ne peuvent mourir, Au paradis des poètes et musiciens  qu’il repose en paix. Sur terre nous continuerons de lui dire que nous l’aimons en ne l’oubliant pas.

Je voulais te remercier pour ton hommage sincère et émouvant. Toi qui d’habitude me fait rire, là je devine ton émotion et des gouttes ruissellent sur mes joues, qu’il repose en paix l’artiste,

Merci à Sophia que j’écoute régulièrement ; Beaucoup de talent pour exprimer le mieux et le pire  . J’ai découvert Idir avec ses musiciens il y a déjà longtemps , j’écoute souvent ses disques et ses musiques !   Merci pour ce billet , on continuera à l’écouter

Quel superbe et si émouvant hommage à cet homme auquel nous étions attachés , lui qui aimait la Bretagne où il s’était produit à plusieurs reprises Merci Sophia Aram!

Merci Sophia, Idir restera à jamais dans mon cœur, Votre poème me touche beaucoup, il est très bien rédigé. Idir, c’est ma folle jeunesse, mes souvenirs qui me dévorent, Idir c’est ma douce qui m’a quittée il y a maintenant 6 ans. Idir à jamais dans mon cœur

Un grand merci à Sophia Aram pour ce magnifique hommage rendu à Idir. Son poème m’a totalement bouleversée. Idir était un chanteur, un homme pour lequel j’avais beaucoup d’admiration. Il était intelligent, d’une grande sensibilité, modeste, discret et profondément humain. Son visage n’exprimait que de la bonté et de la générosité au sens large du terme. Comme lui, j’étais née en Grande Kabylie. Lui en 1949, moi en 1947. Même si je suis profondément triste d’avoir appris sa disparition, je pense néanmoins que la mort c’est comme un soleil couchant à l’horizon. On est triste lorsqu’il disparaît mais on sait qu’en même temps il se lève quelque part, ailleurs. C’est ainsi que je vois Idir à présent. Sa lumière brille quelque part, ailleurs car c’était un homme trop bon pour pouvoir disparaître à jamais.

Bravo à Sophia Aram pour ce magnifique hommage rendu à Idir. Beaucoup d’émotion

Quel bel hommage à Idir décédé samedi. C’est pour ces moments d’exception que j’aime la radio, j’ai pleuré.