Lundi 18 novembre, Eva Bester recevait l’acteur Vincent Lindon dans son émission « La 20e heure » sur France Inter. Les auditeurs ont particulièrement apprécié l’émission et saluent le travail d’Eva Bester :

Très chère Eva Bester,
Depuis tant d’années, je vous suis dans vos émissions avec toujours ce même plaisir, tant vos interviews sont délicatement menées et vos invités prestigieux !
Quel plaisir ce fût, cette nuit – car il était 5h du matin pour moi – (je bichonne mes insomnies), d’écouter Vincent Lindon vous répondre et partager ces minutes en vos compagnies !
Au passage, vous pouvez le rassurer, nous sommes nombreux à l’aimer et donc j’en suis et je pourrais dire comme lui le proclame envers Delon, Montant ou Badinter : j’en suis amoureuse !
Tant de sincérité, de vérité dans ses propos et dans ses films, toujours si émouvant en tant qu’homme fragile et fort à la fois !
Merci, merci, merci à vous pour ces beautés que vous mettez en avant et à lui pour celui qu’il est !
Ces moments de pur bonheur valent toutes les nuits réparatrices ! Une très fidèle auditrice.

Je prends le temps d’adresser un petit message à Eva Bester pour la féliciter d’avoir mené à bien l’émission de ce jour avec Vincent Lindon ! Vous avez été héroïque car Vincent Lindon n’était pas « perché » comme il l’est souvent, mais carrément avait rejoint la stratosphère !!! Bravo Eva et j’adore vous écouter.

J’écoute Vincent Lindon avec Eva Bester ce soir. Je voulais dire à Vincent Lindon que moi j’écoute très souvent la radio à 20h.
Je vis seule et la radio à 20h (la 20e heure, comme l’heure bleue de Laure Adler avant) me nourrit : de mots, d’émotions, d’idées, de ressentis, de morceaux de vie… qui m’aident à vivre sans doute.
Merci pour cette émission à fleur de peau, on vous sent comme deux funambules, et personnellement cela me touche. Et me remplit ce soir. Alors merci !

Je voulais juste féliciter Eva Bester, que je trouve fine, pro et assez lucide. Je me permets ce mail car ce n’était pas gagné à priori (je ne suis plus toute jeune, j’aimais bien, même s’il m’a fallu du temps, Laure Adler) et j’avais peur de perdre au change… Et non ! Et j’en suis ravie.