J’ai arrêté d’écouter France Inter car je ne supporte plus le parti pris de la plupart des journalistes en faveur des terroristes islamistes et fascistes du Hamas. La détestation entretenue à longueur d’antenne d’Israël est une honte morale indigne ! 1200 à 1400 assassinats horribles vous laissent de marbre dès lors qu’il s’agit de Juifs ! En revanche vous vous complaisez à comptabiliser et à évoquer les bébés morts sous les bombes selon la propagande du Hamas, ce que vous ne faites jamais pour aucun autre conflit dans le monde !! Ni sur les Ouïgours, ni en Ukraine… on ne vous entend comptabiliser les morts d’enfants à part ! La guerre est déjà en soi suffisamment horrible pour ne pas en rajouter dans l’horreur ! Vos journalistes orientés ont discrédité la radio de service public que vous auriez dû représenter plus dignement.
A l’heure où le monde s’embrase et où les chaînes privées et non-stop de l’information impose leur rythme et leur idéologie de plus en plus à l’extrême droite, il est important que le service public de l’information maintienne une exigence de qualité et de neutralité dans le traitement de l’actualité. La défense de la pluralité, de l’objectivité, de l’esprit critique et de l’impertinence ne doit pas laisser place à un engagement aveugle à reproduire la doxa du pouvoir politique et des chaines dominantes. Le traitement de la guerre à Gaza a été particulièrement éprouvant pour tous ceux qui sont attachés à une information objective et équilibrée. Au drame de la guerre et des massacres on ajoute le déni et l’information trop orientée du côté israélien. La chasse aux sorcières qui réapparaît amène les gens à douter du service public de l’information et à se précipiter sur les réseaux sociaux. Ceci est un vrai dommage pour vous et pour nous attacher aux valeurs du service public.
À la lecture de ce message, vous vous direz sûrement « encore un message sur le traitement de l’actualité au Moyen-Orient »…. Nous sommes auditeurs de France Inter depuis des années et nous sommes particulièrement déçus de la façon dont notre radio préférée traite le conflit au Moyen-Orient. En effet notre perception est que l’immense majorité des reportages et informations depuis le 7 octobre présentent de manière émotionnelle et partisane la situation de la partie palestinienne . La partie israélienne est systématiquement présentée sous son plus mauvais jour. Mon message est donc une invitation a ce que vous soyez plus attentive à ce que ce conflit , d’une énorme complexité, ne soit plus présenté de manière manichéenne au fil des informations, sauf à afficher clairement une préférence pour la partie palestinienne. À noter que notre remarque concerne la partie informations. Les dossiers de fond sur l’antisémitisme ou le sionisme ne tombent pas, selon nous, dans ce travers. Est-il possible de savoir combien de minutes d’information on été consacrées à la cause palestinienne et combien de minutes à la cause israélienne ?
J’ai honte, j’écoute France inter depuis 55 ans et là je suis dégouté par la façon que vous avez de soutenir l’Etat d’Israël comme vous le faites alors que c’est lui qui depuis 75 ans tue, massacre, humilie, torture les Palestiniens, détruit leurs maisons, leurs récoltes etc… etc… L’armée Israélienne est une armée d’occupation, ne l’oublions pas, les Palestiniens sont chez eux à Gaza comme ailleurs. Heureusement, à France culture, on entend parler des prisonniers palestiniens qui sont eux-aussi des otages et qui sont enfermés et torturés depuis des années alors qu’ils se défendent… Vraiment, j’attends d’une radio publique plus d’objectivité. Je ne soutiens pas le Hamas mais je peux les comprendre depuis que cela dure.
J’ai écouté aujourd’hui vos témoignages et reportages sur le conflit Israélo-palestinien et je suis mécontent de la façon dont vous rendez compte de la situation. Vous en avez principalement pour les Palestiniens. Et les otages alors leur nom, leurs proches pourquoi tant de silence. Vous faites parler des responsables d’ONG très bien et pourquoi ne leur posez-vous pas des questions sur comment ils rendent compte au Hamas pour travailler. Cette organisation a réussi à construire des milliers de roquettes et autres armes mais aucun stock pour la population. Nous sommes coupables de donner de l’argent aux Palestiniens qui le détournent pour leur sale guerre. Encore une fois l’orientation politique de votre rédaction me fait honte et rajoute à la barbarie l’ignominie. Vous êtes plus que les idiots utiles du Hamas, des complices. Car les bourreaux du groupe islamiste ont des frères sœur et parents palestiniens… Posez-leur les questions qui fâchent, êtes-vous fiers des meurtres, viols et autre atrocités perpétrées par votre fils, frère, mari etc…. Faites-vous violence, un peu de courage chers journalistes.
Vous allez aborder longuement le traumatisme qu’à subi le jeune garçon libéré par le Hamas. Peut-être serait-il judicieux de faire un reportage sur le traumatisme que développent des MILLIONS d’enfants palestiniens de Gaza, qui vivent depuis 75 ans sous colonisation israélienne, et qui vivent depuis un mois et demi sous le déluge de haine de l’armée israélienne. Il se passe un génocide, vous ne parlez jamais de ces enfants tués, traumatisés, orphelins, et vous faites une tartine sur un gamin libéré. 2 poids 2 mesures insupportables.
Ce message fait suite aux nombreux autres déjà publié sur la plateforme. Je souhaite m’étonner simplement du côté pro-israélien qui semble pris par la rédaction. En propos liminaire, je cite Monseigneur Vesco : « Malheureusement, si cette violence barbare est sans excuse mais elle n’est pas sans cause ». Si l’acte commis par le HAMAS est évidemment sans excuse, cela ne revient pas à cautionner la politique d’Israël, ce que vos antennes font trop peu quand elles traitent des otages. En sus des messages publiés sur votre site, je souhaite aussi attirer l’attention de la rédaction sur la centaine de morts de l’ONU des suites des bombardements d’Israël depuis des représailles. Je ne parle même pas ici des victimes palestiniennes. Alors, certes il faut soutenir la libération des otages, mais en contre point, indiquer également les victimes et le montant des dégâts dans ce nouveau conflit.