Des messages sur l’émission « Le Bach du dimanche » à lire ici :

Magnifique émission. Ce dimanche matin, lorsque l’émission a débuté, je n’étais pas vraiment réveillé, en raison d’un retour très tardif à mon domicile. Pour ne manquer sous aucun prétexte « Le Bach du dimanche » le radio-réveil est réglé à la bonne heure. Donc ce dimanche matin, je me réveille avec les premières notes de la première cantate en début d’émission. Il ne peut y avoir de plus beau réveil que celui de ce matin, tant la cantate, émouvante et mélancolique, si bien composée et si magnifiquement interprétée, m’a porté, envouté et transporté dans un monde plus harmonieux. J’essaye d’imaginer JS Bach composant un tel joyau, une écriture du chant de l’âme. Je me sens si petit face à tant de talent. Plus j’écoute JS Bach – de très nombreuses années – et plus je découvre la vie du compositeur au travers de votre émission et des livres, plus cela me pousse irrésistiblement à participer à un voyage sur les traces du compositeur.
La suite de l’émission m’a autant enchanté : de l’orgue, des transcriptions d’André Isoir.
Merci à vous et à JS Bach de ravir mes oreilles et d’embellir ma vie.

Excellent dimanche, avec l’indispensable « Bach du dimanche ». Déjà que Radio France – et France culture en particulier – est une radio géniale, avec cette émission on atteint un sommet, merci à vous c’est tout simplement splendide ce que vous faites.
Je vous livre cette pensée qui me vient à chaque fois que j’écoute Bach : « Il y a Bach donc je peux mourir. Il y a Bach donc je veux vivre! »
Bien amicalement et très bon dimanche.

Chère Corinne, chers tous qui faites des petits matins du dimanche un moment de joie et de jubilation ! Et oui, même à potron-minet !
Merci de nous offrir l’excellence en toute simplicité, avec énergie, finesse et intelligence. Grâce à vous nous devenons meilleurs car la musique servie par d’aussi bons journalistes adoucit la vie et la rend plus belle, plus humaine. Aussi, de tout mon cœur, merci !

Pourquoi ai-je tant attendu avant de vous signifier mon intérêt pour votre émission, mon admiration, ma reconnaissance pour vous et l’équipe pour ce travail de préparation, documentation, que vous nous livrez en direct ? Bien que bien pourvu en enregistrements (de façon redondante) des œuvres de BACH (et famille), j’ai toujours plaisir à découvrir avec vous de nouvelles versions (ou des anciennes qui ne me sont pas connues). Cela fait du bien à moi, mon épouse et aux éditions musicales, car votre émission est génératrice d’envie d’acquérir un cd, à la suite de l’écoute que nous avons fait en votre compagnie.

Nous habitons à la Sarre en Allemagne à 35 km de la frontière franco-allemande,
mon mari et moi, nous sommes très heureux de pouvoir recevoir Radio France Musique.
Votre émission Le Bach de Dimanche est incomparable. Il y a beaucoup des stations de radio en Allemagne mais pas une émission qui joue notre préféré compositeur Jean Sébastien Bach pendant deux heures chaque semaine de cette qualité comme vous. Nous vous remercions beaucoup!

Merci pour cette formidable émission (particulièrement formidable mais elles sont toujours très bien). Que de belles découvertes autour du Prélude n°2 en ut mineur. J’aurais presque eu envie de repasser le Bac (c’est bien la première fois) ! Et cette chanteuse galloise Ruby Hughes, magnifique avec cette mise en parallèle de Bach et Purcell. Et cette suite pour violoncelle de Britten. Et le Bach Collegium Japan. Un vrai plaisir avec beaucoup de touches d’humour, la journée a bien commencé.

Chère Corinne Schneider, j’adore votre émission qui nous donne à entendre et « ce qui se fait » maintenant et aussi à réentendre les interprétations passées de mode mais qui font encore tellement plaisir!
Ainsi cet air de Bach chanté en français par Georges Thill. Les puristes en penseront ce qu’ils voudront, n’empêche que le chant lyrique était beaucoup plus populaire en France quand les auditeurs comprenaient le sens de ce qui était chanté!
C’est dans cette perspective, et en pensant aussi aux enfants français, que je me suis livrée à la tentation de traduire quelques Lieder de Schubert, que je pourrais vous envoyer si cela vous intéresse, et aussi cet air (qui n’est pas de Bach, comme vous savez, mais de l’époque) « Bist du bei mir », qui parle de façon si émouvante de l’adieu de la mort. Je vous l’envoie par courrier postal.
Continuez de nous enchanter ! Je vous souhaite (et je nous souhaite) d’être encore très longtemps, et avec joie, sur les ondes.

Chère, très chère Corinne Schneider,
Merci pour cette première heure passée avec Valentin Silvestrov, mais aussi pour votre message universel. Ainsi, nous avons pu associer toutes les mères, toutes les familles, toutes les victimes, mortes ou vivantes et penser très fort à leur souffrance.
Fidèle auditrice de votre émission dominicale et, bien qu’il s’agisse pour moi d’une écoute profane, c’est chaque semaine un plaisir renouvelé.
Je vous souhaite tous les bonheurs.

C’est la première fois que je vous écris (par rapport à d’autres émissions de France Musique).
J’adore votre émission, que j’écoute dès le premier jour tous les dimanches: d’abord à Arles, où j’ai vécu 15 ans ; maintenant depuis mon village de Moussac, perché sur le Gardon. Mais aussi à Paris et aux Saintes-Maries-de-la-Mer, entre salins, mer et flamands : vous m’accompagnez partout !
Grâce à votre émission je comprends mieux mon amour pour Bach et je découvre toujours des pépites. Merci. Ce dimanche je voudrais vous remercier particulièrement pour l’annonce du concert à Sauveterre : je vais m’y rendre.
Une très bonne idée l’agenda de province, surtout en hiver.

Le Bach du dimanche me réveille en musique ! Je souhaite longue vie à l’émission et une très bonne saison à toutes les personnes qui font vivre cette émission.