Ce podcast, c’est l’histoire d’une correspondance sonore, une relation qui a commencé à distance. Marwa et Raha, avaient alors 23 et 21 ans. Elles envoyaient à Caroline leurs premières notes vocales depuis Kaboul, après la prise de pouvoir des talibans. C’était la fin de l’été 2021.

Bonjour Caroline,
Merci…
J’écoute avec avidité le second opus de votre podcast « Outside Kaboul » et je suis à chaque épisode davantage remuée de 1000 manières..
Il y a ces Femmes bien sûr, dont les mots francs, si naturels et si forts touchent au cœur, éveillent au Monde, à l’Exil, à l’Amour de la Famille, aux questionnements si pertinents. Elles sont exceptionnelles, singulières et en même temps universelles avec ces Emotions qui les traversent et qu’elles partagent avec simplicité. Vous les rendez Journalistes, elles se l’approprient tout en bousculant les codes. Vous leur apportez un cadre professionnel sécure et elles s’en saisissent si bien!
Il y a ce travail de journaliste dont on comprend la déontologie, les questionnements éthiques, la construction de pensée, c’est extraordinaire d’écouter vos questionnements, de vous voir évoluer au fil des réponses que vous y apportez, nourries de ceux auxquels vous faites confiance dans ce milieu.
Il y a ce que vous acceptez de partager de Vous, vos valeurs, vos émotions, la place que vous acceptez ou non de donner à « Caroline » et non à la seule journaliste, ce qui s’impose à Vous et vous remet en question, votre pudeur. La question de la Place sans cesse remise au travail.
Il y a ce que l’on devine, le montage, les échanges en équipe au fil de ce travail, les remue-méninges, les Risques, le réseau… les heures de travail, d’écoute, de choix sans doute très difficiles dans les séquences à garder… Je ne peux qu’imaginer l’ampleur de la charge mentale qu’à exigé ce podcast..
Il y a cette jeune femme qui traduit à merveille et donne à elle seule une valeur supplémentaire au « Balado ». La manière dont vous avez choisi de toujours laisser écouter la voix afghane en priorité puis ensuite celle de la traductrice leur permet à chacune d’exister. Leurs voix sont très différentes, cela ajoute au plaisir de l’écoute, on ne se perd pas, et la singularité de cette voix la fait exister comme un personnage à part. Souvent je me suis demandée « va t elle réussir à traduire l’émotion, le ton, tout ce qui se dégage de ce moment??? ». Et oui, chaque fois, on y est!! Je serais curieuse de savoir comment Raha et Marwa ont accueilli ces mots venant d’Elles et repris par une Autre.
Ce travaille bouscule les certitudes sans agresser, donne envie d’être rigoureux, fait rire et tellement pleurer….
Vous réussissez là ce que je suis incapable de faire lorsque j’essaye de partager ce que je vis dans mon travail. Je suis médecin généraliste en milieu rural. J’ai l’impression chaque jour de faire des rencontres magnifiques. Je ne sauve personne, je me contente de mettre à disposition des patients ce que j ai appris. Leur confiance me touche, m’honore et nourrit mon enthousiasme, c’est donc un échange de bon procédé. Ils m invitent sur leur chemin, quand ça va mal mais également quand le vent tourne, je les vois grandir et je mûris avec eux. J’aimerais être capable, comme vous le faites si bien, de raconter ce que je comprends de l’Humain…. Ils sont à nu, dans leurs inquiétudes, dans leurs traumatismes, dans leurs douleurs, dans leurs grandes joies (confort de ne pas être oncologue…). C’est épuisant, parfois dérangeant ou exaspérant, décourageant ou enthousiasmant, mais toujours, toujours, c’est riche… finalement même une rencontre ratée apporte quelque chose. Chaque histoire est unique, je m’applique avec mes outils à y trouver sens et à y chercher, le temps d’une consultation, quelle place je peux/veux/dois y prendre. Amener à parler, savoir se taire, toucher délicatement, partager ce que je comprends puis conclure ensemble et choisir ou pas de se revoir.
Caroline, je crois que vous avez grandi avec ce travail considérable et magnifique. Moi aussi, en vous écoutant toutes les 4 (Vous, Marwa, Raha et Louise).
MERCI

Merci infiniment pour ce tellement beau reportage et podcast « Outside Kaboul », merci à Caroline Gillet, et à jeunes femmes afghanes. J’ai été très touchée, merci de nous partager la vie de ces femmes, tous ces questionnements, les joies, les inquiétudes… j’ai eu le sentiment d’être incluse dans le reportage, de vivre avec vous ce que vous avez traversé. J’avais ressenti déjà ce même genre de sentiment avec le podcast de Charlotte Piret sur le Bataclan. Bravo, c’est un travail remarquable, sensible, impliquant. Vous nous donnez l’impression d’être là, avec vous, associée à l’avancement de votre projet. C’est un reportage qui nous parle d’humanité partagée. Merci infiniment.

Merci a Caroline Gillet, Marwa et Raha pour ce podcast sur leurs vies, échanges, témoignages entre l’Afghanistan et l’Europe.
Beaucoup de douceurs, de positifs accompagnent ce podcast qui fait du bien a écouter à l’heure où on décrit les refugiés comme négatif pour notre société.

Merci pour ces témoignages tellement émouvants ! j’avais déjà été très touchée par Inside Kaboul, quand je vous ai entendues sur France Inter à 8h20 pour la journée de la femme j’ai été très heuse d’apprendre qu’il y avait une suite ! Je viens de terminer le dernier épisode, je l’ai fait traîner, je ne voulais pas que ça s’arrête, j’ai ri, j’ai pleuré…. Et j’ai beaucoup appris ! alors merci, merci merci à vous 3 pour ce magnifique récit, cette expérience de vie que vous avez partagée avec nous, j’en veux encore ! enfin surtout, j’aimerais avoir de vos nouvelles régulièrement. Bravo et merci aussi à France Inter de permettre à de telles choses de se faire ?

Qu’est-ce que les mots me manquent pour dire à quel point Inside Kaboul m’ému, bouleversé, fait pleurer, m’a indigné, fait sourire, m’a noué la gorge, m’a révolté, et m’a (re) donner espoir !
J’ai trouvé les questionnements des protagonistes si justes, si humains, et ce podcast si nécessaire et beau !
Un très très grand merci à toutes et tous pour nous permettre d’entendre cela sur le service public !
P. Eluard disait : « il n’y a pas de hasard, que des rende vous ». Je suis persuadé que j’avais rendez-vous avec ce podcast.

Il faut écouter les excellents podcasts “Outside Kaboul” après “Inside Kaboul”, être touchée au cœur par Marwa et Raha pour ne pas oublier les femmes afghanes. Merci Caroline Gillet, Marwa et Raha.

Merci ⁦Caroline Gillet⁩, Marwa et Raha, pour ce podcast. La guerre, la violence sont des abominations. Personne ne devrait avoir à quitter son pays pour y échapper. De tout cœur j’espère que Marwa et Raha auront une vie remplie de bonheur.

Je souhaitais féliciter Caroline Gillet, Raha et Marwa pour ces 2 podcasts qui m’ont bouleversé. Chaque épisode est à la fois beau, à la fois dur, m’a fait pleurer, et m’a fait découvrir la difficulté de l’exil et de toutes ses implications. Bravo et merci. Courage à Raha et Marwa pour la suite. Continuez comme cela toutes les trois et prenez soin de vous.

Merci beaucoup à Caroline Gillet pour ces émissions « Inside/Outside Kaboul », que je suis depuis le début, quand je suis allée à Lubeck en septembre dernier j’ai pensé à Marwa et je me suis dit que j’aurais aimé la rencontrer… C’est vraiment important d’avoir les voix de ces 2 femmes, pour savoir ce qu’il se passe de l’intérieur, et aussi d’avoir votre retour de journaliste.
Merci énormément, je continue les épisodes d’Outside Kaboul qu’il me manque….

Merci infiniment pour Inside Kaboul et Outside Kaboul ,
J’ai adoré ces reportages et cela nous fait encore plus réfléchir …et peut être nous ouvrir l’esprit !
Merci aux journalistes qui ont eu l’idée et la niaque de poursuivre ! Il faut les aider moralement et financièrement.

Je viens d’écouter le podcast Outside Kaboul. Les émotions qu’il a déclenchées en moi sont nombreuses. Je sens qu’il laissera une marque en moi, et j’en suis extrêmement reconnaissante. Une infime partie de ma consciente de l’autre est réveillée comme je ne l’avais jamais senti. C’est une merveille de podcast ! Je vous remercie de produire et émettre des produits de ce calibre.
Un énorme bravo à Caroline et à Raha et Marwa. J’espère que leur parcours respectif sera chaque jour plus doux et fluide.

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