Violoncelliste et compositrice, elle interroge les sons, connait le secret pour sortir la musique de ses carcans, et pour faire dialoguer les registres, les langues et les arts. Musicienne et conteuse, elle est venue, ce matin, nous raconter des histoires. Sonia Wieder-Atherton était l’invitée d’Augustin Trapenard.

Quel moment hors du temps, quelle plongée dans la musique !
Merci et bravo pour la forme et le ton de cette émission ! Ce n’était pas une interview mais presque de la musique ! Le violoncelle, la voix de l’artiste ses propos m’ont fait venir les larmes aux yeux.

Un moment si fort que j’enlève les convenances, je fusionne avec moi et cette introspection ressort avec force, violence, comme un cri : je suis moi.
Ce moment avec Sonia Wieder-Atherton était exceptionnel… l’enseignement qu’elle a reçu et son travail pour s’effacer et laisser l’autre accéder à lui, à son moi grâce à son interprétation était hurlant de vérité, ma vérité.
Alors merci.
Merci et bravo parce que cet art, c’est aussi le vôtre : vous vous êtes effacé pour que je puisse accéder à moi à travers votre art, votre art d’interviewer.

Plus que ses magnifiques et sensibles interprétations au violoncelle, ce sont ses paroles, ses mots qui s’enchaînent simplement comme sa musique et nous touchent au plus profond de nous-mêmes. Presque plus que les extraits musicaux, j’attendais ses mots. Un grand merci pour ce superbe moment.

Merveilleux discours tenu par cette artiste sur la musique et son pouvoir ! Une émission à retenir, à partager ! De sa façon de chercher la profondeur sans mots, par la dramaturgie du sens à l’écrit de Giacometti… 30 mn d’une immense richesse. Mille merci !

Bonjour Augustin, Sonia m’a fait pleurer avec son violoncelle.
J’aime cet instrument depuis très longtemps et j’ai la chance d’avoir un petit fils qui en joue (modestement, mais il suit assidument les cours depuis 6 ans dans une école de musique).
Moi qui n’ai pas eu la chance d’apprendre la musique (ce n’était pas pour nous, famille pauvre d’ouvriers, répétait toujours ma maman lorsque je passais du temps sous les fenêtres du conservatoire de Tourcoing à écouter les élèves et à envier les élèves). J’ai voulu que tous mes enfants découvrent la musique et 2 sont devenus professeurs d’éducation musicale, pour transmettre à leur tour ; moi, je me « contente » d’écouter et de chanter dans une chorale. J’écoute rarement votre émission, mais ce matin j’ai laissé la radio et votre introduction m’a incitée à stopper toute activité et à vous écouter. Puis il y a eu ce psaume et le prélude de Bach ; les larmes sont arrivées… Quelle émotion, quel bonheur.
Merci à vous, merci à elle, merci à France Inter de nous offrir de si beaux moments. Il me fallait vous l’écrire, c’est sans doute très maladroit, mais c’est du fond du coeur. Remerciez Sonia Wieder pour ces moments magiques pour son partage d’émotion, pour sa façon de s’exprimer, pour… tout… Depuis, je l’écoute sur mon ordi en vous écrivant… Belle journée à vous et continuez à nous éblouir et à nous faire découvrir de belles personnes.

Le cœur au bout des doigts, celui qui est juste, authentique. Chère Sonia Wieder-Atherton, je vous remercie profondément pour votre belle présence de Musicienne. L’émotion est intense, seules les larmes et le silence expriment au plus près ce que je ressens à l’écoute de votre intense interview… Je vous remercie pour votre univers…votre profond regard poétique… La recherche de la Beauté est pour moi cette poursuite inlassable, ineffable, intime.
Ma recherche pianistique est celle de la voix…la vraie voix, celle de l’intérieur, celle qui nous raconte… nous. Et celle des compositeurs que nous traduisons à travers leurs œuvres …votre violoncelle est cette voix -là, elle ouvre cet horizon plein de lumière… Travailler à être au plus près de ce que l’on est, selon moi, le travail de tout musicien. Quelle joie de vous savoir là, chère Sonia, vous nous êtes précieuse.

Merci pour ces purs moments de douceur grâce à cette violoncelliste (entre deux flashes d’info tellement anxiogènes) et merci en général pour toutes vos émissions.

Il y a deux jours, c’était très rock n’roll avec Angus Young. Aujourd’hui tout en douceur avec Sonia Wieder Atherton.
Et j’ai beaucoup aimé Marie Hélène Lafond et le Cantal. Ça me permet de respirer les odeurs de la Haute Loire, pas loin de sa source. Merci pour vos émissions. Même quand j’ai programmé autre chose je finis par écouter Boomerang…

Merci à France Inter, Augustin et Sonia Wieder-Atherton. Vous m’avez fait pleurer en plein télétravail. La musique est magnifique. Merci aussi à Nina. Bonne journée et bonne continuation.