Bonjour,

Le positif.

"Un" espèce de... lorsque la locution est suivi d'un mot masculin tend à diminuer, dans la bouche en tous cas des journalistes et animateurs des émissions. Il en va de même pour l'usage de l'indicatif à la suite de "après que".

L'agacement. Une nouveauté complètement inexplicable fait son apparition : il s'agit de la prononciation de l'adjectif "prégnant-e". D'où tenez-vous qu'il faille prononcer PREGU'NANT-E ?

La proposition enfin. L'anglicisme "spoiler" est affreux ; le gallicisme ou mot valise "divulgâcher" est joli. Mais pourquoi ne pas faire usage de ce que nous avons en magasin ? Pourquoi ne pas éviter de "déflorer la chute d'un livre, son intrigue..." ?