L’explication est simple. L’"affaire" Patrick Henry est une affaire dont on avait beaucoup parlé lors de son procès en 1977 au moment où la peine de mort existait encore en France. Il y avait échappé de peu grâce à son avocat Robert Badinter, qui, devenu garde des sceaux, était parvenu à faire abolir la peine capitale. L’histoire de cet assassin est donc particulière et c’est à ce titre que les médias ont évoqué sa possible libération conditionnelle.
