Cher Monsieur, Emission merveilleuse qui m'a touchée au plus profond de mon cœur. Le cauchemar qui me hante souvent est l'assassinat sur place par les nazis de ma tante paternelle qui s'accrochait à ses fils pour ne pas en être séparée, à Thessalonique, lors de la grande rafle direction Auschwitz. Je porte son prénom caché en deuxième prénom, Noama traduit en Nelly. Ni ses deux fils ni son mari ne reviendront. Merci une nouvelle fois Augustin. Je vous embrasse chaleureusement.