Bonjour, j'ai écouté avec bonheur votre billet ce matin. Avec bonheur parce que je l'ai vraiment apprécié, mais avec tristesse car j'ai grandi à Sète, ma ville de cœur. Je n'ai pas votre facilité de plume. Je n'écris jamais à un média, mais là, je me devais de vous dire bravo pour votre chronique et merci pour ce billet sur Sète, en espérant que cela contribue à sauver ces tilleuls....et les bancs publics, chers à nos cœurs et qui l'étaient aussi à l'Ami Georges.