Je me permets de vous reprendre sur une formulation de l'information que je juge désastreuse : ce matin, le journaliste évoque l'enseignant qui "a fait un cours sur les caricatures". Je préférerai que tous les journalistes parlent d'un cours sur la liberté d'expression, les caricatures n'étant là que pour illustrer son application et les limites à celle-ci. Faire des caricatures de Charlie un élément central de l'enseignement moral et civique est faux et ne sert que la désinformation d'Erdogan. Les ramener à leur condition d'outils pour illustrer un concept qui nous est cher me semble plus "productif".