Merci Laure et merci Boris pour ces échanges intelligents et lumineux. Merci aussi pour les témoignages. Le déni, j'y fais face chaque jour dans mon travail de psychothérapie avec ses funestes conséquences. J'ai vécu une enfance violente et n'ai pu commencer à lentement en sortir qu'à 38 ans, un an après la naissance de ma fille, ce fut violent. Salutations fraternelles.