Monsieur,
Il me semble que le "retour aux commentaires" sur le site de FI, ne soit plus d'actualité. La décision de reporter l'activité des commentaires sur les réseaux sociaux (twitter et facebook) ayant fait consensus.
Je me permet quand même de revenir sur les propos de Mr Israel, entendu sur votre antenne disant je le cite:
"objectivement, le problème des commentaires est bien souvent un problème de modération. C'est là que l'on trouve le plus de propos racistes, sexistes voire menaçants où qui n'ont aucun lien avec le contenu de l'émission". Je trouve ces propos insultants pour tous les auditeurs de FI, qui ont pu pendant tant d'années alimenter vos pages, de débats,fils de discussions témoignages divers, critiques (positives où négatives...).
Je me demande si Mr Israel lui-même n'aurait pas du être "modéré". Quant aux "commentaires" sur "twitter" pour des émissions comme "tous politiques" le dimanche, où "le téléphone sonne", je trouve cela insipide, et sans intérêt. Au fait, monsieur, puisque vous êtes censés faire preuve de "pédagogie", comment s'effectue la "modération" sur "twitter" et facebook". J'avoue mon ignorance. Je vous remercie de votre éclairage.
Cordialement- M.Brunet

La Médiatrice Radio France vous répond
23/02/2017 - 12:54

Je comprends tout-à-fait la frustration que peut engendrer le fait de ne plus pouvoir commenter directement une émission. Evidemment, ce ne sont pas les commentaires intelligents et constructifs qui posaient problème, mais, comme le disait le directeur du numérique de France Inter dans un Rendez-vous du médiateur, on y trouvait également nombre de propos racistes, sexistes, voire menaçants. Vous le savez bien, les commentaires ouverts sont bien trop souvent un lieu de défoulement anonyme et irresponsable, où nombreux sont ceux qui perdent tout sens de tolérance, d’ouverture d’esprit et de respect de l’autre. Et journalistes et producteurs manquent de temps pour assurer modération et réponses. Enfin, nous sommes responsables de ce qui est publié sur nos sites; ce qui n’est pas le cas pour Twitter et Facebook, qui assurent leur propre responsabilité.