Bonjour,
J'ai laissé un message hier sur le site du Médiateur concernant la chronique de Mme Fontrel du 2 mars relative aux moulins. J'y ai développé un argumentaire précis, et je constate aujourd'hui que je ne suis pas le seul à avoir été choqué par cette chronique. La réponse que je reçois aujourd'hui n'est PAS DU TOUT à la hauteur du courrier que j'ai adressé. Il n'est tenu aucun compte des arguments que je développe, et surtout, la réponse de Mme FONTREL est exactement la même que celle qu'eelle a fourni aux autres auditeurs ayant, comme moi, fait une réponse argumentée. Tous nous avons, sans concertation, évoqué les erreurs de sa chronique concernant le fait que la Juine n'est pas "vide de poissons" par exemple... Nous ne nous sommes pas basés sur un ressenti mais sur des données objectives et incontestables. Au lieu d'en tenir compte, de faire amende honorable, et de tenter de s'améliorer, elle persiste avec certitude dans son ignorance. Là, on confine au foutage de gueule (et encore je reste poli) !!!! Jusque là, je pensais qu'il s'agissait d'un manque de travail, et de recul : je vois aujourd'hui qu'il s'agit d'un manque d'honnêteté intellectuelle caractérisé.Ce n'est plus seulement pitoyable, c'est honteux !!

La Médiatrice Radio France vous répond
09/03/2017 - 17:03

Voici la réponse de Nathalie Fontrel :

Merci pour ce message. j’ai parlé de la Juine ce matin là pas parce que je suis harcelée par les proprîétaires de moulin mais parce qu’elle coule au pied de mon terrain. je l’ai arpentée depuis que je sais marcher. je connais tous les moulins. mon grand père était pêcheur il en sortait des brochets des truites des gardons . les moulins étaient là et le poisson aussi.

ILs n’y sont plus. c’est le vide. Et ce n’est pas à cause des moulins. C’est à cause des rejets d’eaux usées et des phyto.

Le mouin en question en bas de chez moi est habité. Je ne connais même pas les prorpiétaires. mais je connais la Juine. je m’y trempe encore (chut ! c’est interdit).

Quand je vois le massacre au faucardage je suis effondrée. j’en ai vu d’autre sur d’autre cours d’eau. Mais à quoi bon préserver les frayères puisqu’il n’y a plus de poisson.