Par Jupiter, tous les ans vous me faites le coup du départ en vacances, huit semaines à patienter avant de retrouver votre bonne humeur communicative alors que les raisons d'être effectivement de bonne humeur me semblent de moins en moins nombreuses. Par voie de conséquence, je préfère vous prévenir tout de suite, je ne suis pas certain d'être encore là en septembre car je crains de ne pas tenir le coup sans vous... Je n'envisage pas le suicide, non non, j'aime trop les coquillettes pour ça, mais il n'est pas impossible que je m'exile sur une île déserte, coupé du monde, voire même en Lozère, avec un poster de Charline pour toute compagnie.