L'affirmation de Jordan Bardella attribuant "la moitié" du déficit (des hôpitaux ?) aux soins gratuits des clandestins aurait mérité une réaction : lui demander à tout le moins ses sources, et peut être lui faire remarquer que ne pas soigner des gens qui vivent parmi nous n'est pas judicieux en termes de santé publique. Et maintenant que ça a été dit, répété encore plus fermement, j'espère que vous allez enquêter sur l'origine et la véracité de cette affirmation. On vous écoute tous les matins...
Amitiés,