Madame Rollmann,
Chère Marina,

Je viens de gagner du temps à binger quelques-unes des chroniques. J'aime vous écouter. Quel plaisir, merci.
Cette façon de vous dévoiler en éclairant nos impensés me fascine. Cela semble si vrai, si simple. Du grand art.
Merci de me faire rire, de me titiller, de tenter de me rendre meilleur. Votre travail est précieux.
Tout de bon, soyez aussi heureuse que possible,