Ce matin encore, votre journaliste sportif a utilisé à tort le mot ADVERSITÉ pour signifier ADVERSAIRES ou OPPOSITION. Est-il utopique de penser que Radio France pourrait exiger de ses journalistes le respect du sens des mots (ADVERSITÉ = MALCHANCE), et leur recommander la consultation des dictionnaires ? Hélas cette confusion gagne de plus en plus le milieu du journalisme sportif et on n'en compte plus les exemples. De la même façon, depuis des années des rugbymen "tombent le ballon" et "jouent une équipe rivale" (l'adversité ?). N'y-a-t-il pas une instance pour réprimer ces lamentables fautes de langue ?