Nous devrions pourtant lui porter quelques fleurs, la langue, la pauvre langue française à de grandes douleurs, aurait écrit Baudelaire... Encore aujourd'hui, elle aura souffert sur France Info. Il serait souhaitable d'y rappeler ce que c'est qu'un "h" aspiré, après quoi on ne fait donc pas oralement la liaison : ne surtout pas parler, comme entendu, des personnes... "zandicapées" ! En outre, à la commémoration devant le Bataclan, on n'y a pas "égrèné" les noms des victimes, mais "égrené" (et encore moins, égrainé). Aussi vrai que, quand on a la "gangrène", on est "gangrené", et non pas "gangrèné".