J’imagine ne pas être la première à vous exprimer de l’indignation à entendre écorcher la langue française à longueur de jours sur l’antenne qui devrait être exemplaire. Je comprends que vous ne puissiez corriger vos invités mais ne pourriez-vous veiller, par exemple, à ce que vos producteurs et journalistes observent des règles élémentaires comme celle de l’accord des pronoms relatifs ou la prononciation des adjectifs numéraux. On entend sans arrêt dire, par exemple, « les affaires sur lequel ... » (je viens encore d’entendre cette faute dans le récit de François Sureau, dont, par ailleurs, le ton docte n’incite pas à l’indulgence.) J’aimerais savoir ce qu’il vous est possible de faire quelque chose pour améliorer cette situation.