Monsieur Denaes,

Le 9 Février je vous ai adressé un message (accusé de réception 18:57). Vous ne le publiez pas, vous ne répondez toujours pas.
La preuve est faite que vous n'avez rien de sérieux à répondre et vous n'avez même pas la politesse de vous excuser. Car c'est bien à vous à rendre des comptes et de servir d'intermédiaire entre les auditeurs et les journalistes. Vous tentez, sans en avoir l'air, de faire diversion avec des sujets minables tels que l'héritage Halliday.
Et cette pauvre Nathalie Affre avec son message du 12.02 ? Vous ne faites même pas preuve de compassion pour elle par rapport à cet abruti de journaliste qui croit tout savoir.

En un mot, vous vous foutez du monde et je m'exprime très poliment.

La Médiatrice Radio France vous répond
20/02/2018 - 14:39

Evidemment, je n’apprécie pas votre ton insultant, mais je vais quand même répondre. D’abord pour vous dire que j’ai déjà répondu plusieurs fois à la question que vous me posiez à propos des vaccinations. Nous sommes journalistes, donc nous ne pouvons donner de fausses informations comme toutes celles qui courent sur les réseaux sociaux. Depuis des décennies, les vaccinations ont sauvé des millions de personnes; ce ne sont pas les médecins retraités dont vous me parlez et dont on se demande bien pourquoi ils ont décidé de renoncer à leurs engagements qui vont faire entendre une voix dangereuse pour la santé publique. Quant aux dangers de l’aluminium, personne n’a pu jusqu’à présent le prouver; les vaccins en contiennent depuis toujours et ce n’est qu’aujourd’hui, en cette période où il est de bon ton de douter de tout, qu’on met en avant un potentiel danger. Pensez-vous qu’il soit normal en 2018 de mourir de la rougeole parce qu’on n’est pas vacciné? Qui plus est, de faire courir un danger à tous ceux qui vous côtoient?

Enfin, je rappelle que je lis tous les messages, mais que je ne peux ni répondre à tous (notamment quand j’ai déjà apporté une réponse) ni tous les publier. Mes journées sont déjà très longues; le temps n’est pas extensible.