Je souhaite exprimer toute ma gratitude à Guillaume Erner qui chaque matin me donne le sourire lorsque j'écoute à mon réveil sa perception de la société. Le commentaire sur le manque de ce matin m'a conduit à ce message. Je rentre de 3 semaines dans les villages népalais où la pauvreté avec la crise sanitaire est majeure mais sereine et solidaire. Effectivement, nous avons peur de manquer de tout, car nous manquons de l'essentiel : nous ne savons pas célébrer la vie. Encore merci d'être là tous les matins, votre façon d'exprimer vos chroniques est délicate, respectueuse