Le Président peut avoir ses raisons de minimiser la portée du soufflet que lui a infligé cet énergumène de l’extrême-droite fascisante ou royaliste. Le geste n’en est pas moins une attaque contre la République et l’indice à la fois de l’audace accrue des ennemis de la démocratie et d’une résignation du corps civique devant la dégradation de l’autorité morale de l’État. L’auteur de cette infamie doit être poursuivi en justice et puni avec rigueur.

La Médiatrice Radio France vous répond
14/06/2021 - 11:44