Merci madame Kouchner de m’avoir permis de déculpabiliser et de me permettre de libérer ma parole.
Dommage collatéral d’une victime d’inceste, ma souffrance et ma détresse ont souvent été négligées voire reniées. La honte doit maintenant revenir sur les bourreaux et pas sur les victimes ou leurs proches concernés... Ce n’est pas parce que je ne suis pas une victime directe, que je n’ai pas souffert ou que je n’en souffre pas actuellement…