Bonjour Sonia Devillers, Je me perds dans cette explosion de nouveaux médias mais votre chronique n'en demeure pas moins un vrai plaisir. Quelle connaissance (sans cesse réinitialisée par la force des choses) vous avez ! Et quelle simplicité! pas une once d'arrogance... Et pourtant, en voyant un jour à la télé, j'ai découvert que vous étiez bien jeune pour être aussi brillante !
Que serions nous sans France Inter en particulier dans ces temps d'enfermement?
Merci pour toutes ces fenêtres que vous et vos collègues nous ouvrez sur le monde.