Merci à Mme Lagrou-Sempere pour ses mots apaisants de réalisme sur le « veuvage » et le comportement parfois inapproprié d’un entourage démuni (aussi) face à la mort, sur la place aussi des enfants pour la reconstruction d’une vie amoureuse du parent restant qui repousse sur un désert de cendres, malgré lui/soi. Je vous demande de lui transmettre toute mon affection, signé un Dominique éprouvé.
Ps : merci Léa et Nicolas pour votre vigilance et présence tous les matins