France Inter, journal de 13h: entretien d'un Niçois "vivants, puis les mêmes, morts... les corps coupés en deux... les corps explosés... c'est dur... c'est dur... ".
Bien sûr.
Mais encore une fois: le travail des journalistes n'est-il de privilégier l'analyse plutôt que l'affect?

La Médiatrice Radio France vous répond
19/07/2016 - 14:00

Non, l’information ne doit pas systématiquement être aseptisée. Ne fermons pas les yeux à la violence endurée par des femmes, des hommes et des enfants à Nice, pour continuer à vivre en ignorant la réalité vécue par d’autres: cela dérange notre confort, mais d’autres ont vécu des moments pénibles. L’empathie doit exister. Cela n’empêche évidemment pas l’analyse.