Sur france info, radio du service public, que j'écoute quotidiennement, il est insupportable d'entendre JM Apathie s'acharner systèmatiquement depuis plusieurs semaines sur Nicolas Hulot en bafouant systèmatiquement la présomption d'innocence, les décisions de justice, les prescriptions et les affaires classées. Il s'acharne à distiller le doute et à médiatiser un dossier vide en disant qu'"il n'y a pas de fumée sans feu". Il croit donc à toutes les rumeurs dans tous les domaines qui circulent sur internet. Ce n'est pas parce que monsieur Apathie n'a pas de compétences et de talent journalistique qu'il doit nous imposer sa mauvaise foi. Il serait intéressant d'enquêter pour savoir d'où vient sa rancoeur inépuisable et non maîtrisée envers Nicolas Hulot. Imposez à Monsieur Apathie d'avoir l'éthique professionnelle minimum obligatoire surtout sur une radio du service public. En espérant que les messages ainsi que le mien soient lus et pris un peu en compte.Merci

La Médiatrice Radio France vous répond
02/03/2018 - 14:20

voici la réponse de Jean-Michel Aphatie :

Trois points rapides

 

1/ Aucune animosité personnelle ou professionnelle vis à vis de Nicolas Hulot

 

2/ La prescription: la presse raconte des histoires ou donne la parole à des femmes indépendamment de la prescription. Cela s’est vérifié avec Flavie Flament ou plus près de nos Harvey Weinstein

 

3/ Les questions posées sont en rapport avec l’histoire et le parcours des invités.

 

Mercredi dernier, nous avons reçu Xavier Bertrand m, ami de Gerald Darmanin. À t il  lu le travail de Mediapart sur l’accusatrice de M. Darmanin? La question était légitime. 

 

Audrey Pulvar, engagée dans les combats féministes, a succédé à Nicolas Hulot à la tête de sa fondation. Comment a t elle réagi en apprenant la plainte pour viol? Question légitime posée jeudi matin. 

 

 

Aucune obsession, seulement le souci que la parole des femmes soit entendue et non pas tue comme elle l’a été trop longtemps.

Il serait beaucoup confortable de ne parler de rien et de faire comme si rien de ce qui nous dérange n’existe. Mais la vie est aussi parfois inconfortable.