Quel enthousiasme dans votre revue de presse de dimanche, pour cette mort sans souffrance pour ces oies sauvages ! Y aurait-il trop d'oies qui traversent notre continent ?
Ne serait-il pas mieux de laisser les oies, poursuivre leur voyage...
Est-ce utile de mettre en évidence une information qui ne servira que quelques privilégiés ? Et qui continue à valoriser l'homme prédateur de la vie sauvage.