C'est bien la première fois que je me permets de donner mon avis.
En fait, je voulais écrire à François Morel, mais comme je ne sais pas bien"naviguer" encore moins "surfer" sur Internet, je n'ai pas su trouver où lui écrire et je suis tombée sur vous.
Du coup, tiens, je vais en profiter pour me lamenter un peu : la pub !!! (et en plus pour des assurances et autres pièges...): Au secours !!! Philippe Meyer me manque. Je pleure Daniel Mermet. ...
Rassurez vous j'écoute toujours France Inter, mais franchement la pub.....
Quant à François Morel l'objet premier de mon message Je vais commencer par dire que je l'ADORE. C'est incontestable. Quand je n'ai pas pu écouter son billet vite vite je réécoute et chaque fois avec le même plaisir (idem pour Nicole Ferroni, Matthieu Vidard..). Son parler, son humour... si si...je l'aime et dans ses divers registres. Alors j'étais trop contente de pouvoir le promener dans ma voiture et dès que j'ai eu les quelques petits sous de mon petit salaire (je ne télécharge rien!) me voilà en route pour acheter son CD; Je ne regrette pas le placement.
Mais, vous vous doutez, il y a un "mais". Je suis aussi fan de Lynda Lemay.
Et là, "les bras me sont tombés". "Celui qui", c'est tout à fait "il n'y a pas de mot" de ma québécoise chérie. , l'humour en plus. Pourquoi et comment ça a pu échapper à l'auteur, aux producteurs....je suis déçue, vexée...tiens pour le coup je ne trouve pas mes mots...
Alors même si j'écoute le CD en boucle dans ma petite auto, il n'y a rien à faire celle-là...je zappe.
C'est quand même étrange de devoir refaire une chanson réussie et que personne ne le lui dise !
Je vous remercie chaleureusement de faire part à François Morel de cet étonnement...en lui disant malgré tout que je l'aime.
Anne Cassé qui promène François Morel sur les petites routes de Normandie.

La Médiatrice Radio France vous répond
07/11/2016 - 9:10

François Morel vous répond :

Chère Anne, merci de votre fidélité et je suis ravi d’apprendre que j’accompagne vos voyages normands. Concernant la chanson Celui qui, voilà ce qui s’est passé. J’ai écrit le texte sans connaître la chanson de Lynda Lemay. On a présenté Celui qui en spectacle. Très vite on nous a dit qu’elle ressemblait beaucoup à une chanson déjà existante. Comme j’aimais bien notre version, notamment la musique de Antoine Sahler, j’ai contacté Gerard Davoust, producteur de Lynda. Lynda nous a répondu très vite qu’effectivement mon texte ressemblait au sien mais que cette idée ne lui appartenait pas et qu’elle nous autorisait à chanter notre version, elle ne nous demandait aucune contrepartie, sauf bien sûr de ne pas titrer la chanson comme la sienne. Nous ne pouvons que remercier Lynda pour sa vraie générosité. Bien cordialement. François Morel