Je suis choquée de l’utilisation du terme « jeunesse sacrifiée » et non pas du terme « jeunesse en crise » .

Parce qu’une jeunesse en crise va demander à « sortir de la crise »?

Alors qu’en leur répétant qu’ils sont (déjà) « sacrifiés » on leur casse le moral pour qu’ils se tiennent tranquilles?

J’espère ne pas être la seule a vous demander d’utiliser mots qui ne désespèrent pas notre jeunesse.