La seule solution viable passe par du courage politique. Les médecins font leurs études dans des universités publiques et apprennent leur métier à l'hôpital public. En contrepartie, il faut supprimer la liberté d'installation. Il faut également bloquer les dépassements d'honoraires à + 50% du tarif de la sécurité sociale (secteur 1).
Il faudra également réfléchir aux nombres de places offertes au concours de l'internat au regard des manques dans chaque spécialité.