Expat ayant vécu sur tous les continents (et notamment à Singapour alias Sin city), je suis l’actualité du virus dans la presse française et internationale et ne comprends pas pourquoi ne s’interroge sur le rôle joué par la prostitution désormais totalement globalisée et souvent très asiatique (cf. la prolifération des pseudos salons de massage dans toutes les villes du monde, initialement près des centres de convention type porte de Versailles en France, bars karaoke, «tournées » de filles en province via notamment des sites type et « importation« systématique et massive de filles lors d’événements sportifs type coupe du monde, formule 1, all star game ...). Quand on regarde le profil des personnes contaminées, ce sont majoritairement des hommes (63% selon certaines études) et plutôt d’un certain âge. Sans vouloir faire de généralités et Indépendamment des causes de contamination avancées par les scientifiques sur le rôle éventuellement joué par la génétique et le fait que les hommes sont statistiquement moins regardant sur l’hygiène et pas toujours très enclin à consulter un médecin, ils sont les principaux clients en matière de prostitution (bien plus que la gent féminine). Le cas du super spreader anglais ayant participé à une conférence à l’hôtel Hyatt de Singapour avant de contaminer de multiples personnes en France m’a mis la puce à l’oreille dans la mesure où le Hyatt de SG est surtout connu pour son bar le Brix situé en sous-sol et peuplé de prostituées. Dans le même registre, il est aussi de notoriété publique que les Chinois/Asiatiques et notamment les plus âgés qu’on surnomment « uncles » en Asie ont largement recours à la prostitution. Autrement dit, il serait judicieux que les journalistes comme vous investiguent cette piste potentielle de contamination et, pour des raisons de santé publique, que les autorités de santé, médecins et épidémiologistes prennent la peine de poser la question aux patients plutôt que naïvement interroger les proches comme la femme, collègues, amis .... pour établir une cartographie correcte de la contamination et mieux l’endiguer. Il faudrait évidemment prendre aussi en considération les travailleurs et travailleuses du sexe et leur fournir les soins appropriés.