Merci pour cette belle chronique ; toutes vos chroniques sont passionnantes, mais ce matin, elle m’a particulièrement touchée, notamment par son ton malicieux, par vos non-dits qui en disaient longs ! parler du Faso de bon matin sur Inter, ça fait plaisir même si c’est pour évoquer une ancienne blessure toujours vivace… Votre anecdote sur Compaoré est piquante ! Au procès, une seule personne peut tout dire, c’est le Général Diendéré mais va t’il parler… Aura-t-il ce courage ? Après tout, emprisonné à la suite de son ridicule coup d’Etat, il n’a plus rien à perdre…