Oui admiration, pour vous Monsieur Erner,
Quelle gouleyante et pertinente et impertinente, et hilarante et tant ironisante que votre humeur humoristique ( et bien plus en vérité qu’elle en deviendrait philosophique) de cet ensoleillé matin où même à travers les nuages épais et menaçant de monstruosité, les puissants rayons de votre intelligence sont arrivés à percer ma politique mélancolie jusque à mon cœur fort réjoui. On dit qu’il faut que le cœur se brise ou se bronze, or vous inventez chaque matin cette nouvelle possibilité que le cœur puisse aussi se brunir au puissant laser de votre humanisme. Un grand merci à vous !!!! corrige modifie pas le texte