Après des années d'écoute, je n'ai jamais pris la peine de vous écrire pour vous dire merci, merci pour votre énergie, merci pour votre justesse, merci pour votre intelligence. C'est si bon d'avoir des moments avec vous et juste se laisser porter et ruminer plus tard pour mieux comprendre et voir la force du moment passé. J'ai écouté à maintes reprise votre chronique sur la Gaité qui m'en impose. Je crois que celle-ci résonne particulièrement à propos de mon père. Je ferai mon possible pour la garder avec moi. Sinon il restera 3615 Qui n'en veut !