Serait-il possible d'ajouter ma voix à la clameur des admirateurs de votre meilleur chroniqueur, de dire à François Morel qu'une fois de plus il excelle. Et que, contrairement au coquelicot qui meurt dès qu'on l'a cueilli, ses mots ne faneront pas de sitôt. Qu'il soit remercié d'avoir ainsi célébré ma fleur préférée.