Commentaires sur l’émission Sous le Soleil de Platon

Monsieur Pépin, ou devrais-je dire : professeur Pépin,
Je veux prendre ces quelques minutes pour vous exprimer ma profonde gratitude pour l'émission Sous le soleil de Platon. Sa diffusion régulière à empli mon été de joies et de riches partages avec ceux qui m'entourent. Car en, effet je ne suis pas la seule addict de la famille. Votre émission s'est répandue comme une trainée de poudre dans notre tribu. Cela à commencé par mon mari qui vous écoute religieusement tout les matins en faisant ses abdos, puis moi que vous accompagnez dans mes promenades avec mon chien, dans le métro ou en train de faire la cuisine autour d'un verre de vin. Nous refilons les podcasts, comme des objets précieux d'initiés, à notre fils ainé qui entame ses études préuniversitaires et qui a choisi l'option philo et penseurs du 19ème. Bref un vrai bonheur qu'on se refile sans modération, dont on discute, qui fait tant d'échos et de résonnances avec nos vies de tous les jours. Merci pour votre style unique, authentique, sans prétention mais qui touche au coeur et qui pose les bonnes questions. Merci pour votre intelligence et votre capacité à citer des auteurs que je trouvais chiants à 18ans et que je redécouvre grâce à vous sous leur meilleur jour. Merci pour votre pédagogie. Merci pour ces introductions qui donnent immédiatement envie de mieux connaitre vos invités. Merci pour vos conclusion qui sonne comme des leçons du Maître de "petit scarabé" (Comprendra qui peut, mais je nous sais, de la même génération).
Merci encore pour les choix de vos invités tous passionnants, passionnés, et pour les thèmes que vous faites résonner avec eux. Je ne peux même pas en citer de préférés tellement je les ai tous aimés. Je continue de résonner et raisonner avec les dernières écoutes: de l'art de la répétition en passant par le verbe libre de Fatou : "le coeur n'a pas d'écluse, à trop le remplir de chagrin il déborde." a-t-elle-dit... Alors laissez-moi conclure cette gratitude par ces mots: je suis en chagrin de ne pas voir ce rythme de l'été se prolonger... Un peu comme à monsieur Katbury j'aurais envie de dire : vos "fingers" vous ne pourriez-pas les faire un peu plus long SVP... Monsieur Charles Pepin?

Ps: et si pas un heureux hasard vous venez du côté de Montréal visiter les cousins Québécois, on voudra le savoir pour vous exprimer notre gratitude et plus encore.

Belle rentrée et beaux succès avec votre nouveau livre!