Finalement au bout du bout du bout, la question éternelle est "mort ou vivant ?".
La mort est un critère malheureusement incontestable.
Alors , pourquoi continuer avec des arguments spécieux sur la souffrance psychologique due à un confinement et autres ? Cette souffrance existe , comme d'autres . Doit on pour cela accepter 200 à 300 morts par jour?
N'y a t il pas eu des précédents ? 1914 ? 1939-45 ,exode, enfants sous les bombardements? Enfants orphelins , enfants déportés . A l'époque pas de pédo psychiatres, de cellules de soutien psychologique. Juste l'envie de vivre et l'humanité de certains. Les enfants survivants n'ont il pas grandi , parfois témoigné?
Certaines objections à des mesures radicales ne sont elles pas des augments de petits marquis pseudo intellectuels? Certains n'en profitent ils pas pour exister à cette occasion?
La mort ne connait pas la démocratie.
Nous si.
Alors ,pour les défenseurs des libertés opposés au port du masque , adeptes des apéros et fêtes entres amis, pourquoi ne pas proposer un fichier national des démasqués avec signature par ceux ci d'un renoncement à une place en réanimation si , malheureusement pour eux , le besoin s'en faisait sentir ? Voila qui ferait réfléchir , soulagerait un peu les "soignants" qu'ils ne savent qu'applaudir et serai un geste fort de leur part puisqu'ils se disent "responsables"

Pourquoi les médecins ne se mettent ils pas en grève administrative (plus aucune cotation des actes) pour témoigner de leur mécontentement ?
Pourquoi les enseignants ne se mettent ils pas en grève tout court pour la même raison. Il me semble qu'ils l'ont fait pour moins ?