CYCLONE IRMA
Comme j’ai déjà eu l’occasion de l’expliquer pour d’autres événements dramatiques survenant simultanément, nous sommes contraints de faire des choix, car il est matériellement impossible d’envoyer des équipes de journalistes et de techniciens partout. Il est évident que nous allons nous concentrer sur ce qui nous touche directement, à savoir les Antilles françaises. D’autant qu’il est simple d’y envoyer des journalistes et que nous disposons des équipes d’Outremer 1ère (France Télévisions). Cela ne nous a pas empêchés d’évoquer la situation en Haïti ou à Cuba, mais sans reportage sur place. Enfin, aux Etats-Unis, comme la plupart des médias, nous disposons de correspondants sur place. Il ne s’agit donc pas d’ostracisme, mais de choix journalistiques liés à la « proximité », à l’intérêt pour nos auditeurs français et aussi à la logistique.