Merci François Morel pour votre chronique du vendredi 1er décembre. Vous avez remarquablement traduit l’indignation de tous ceux qui, comme moi, se sont étranglés en entendant Jérôme Cahuzac justifier sa malhonnêteté et sa déloyauté et citer Emmanuel Kant (ce Cahuzac, est sans vergogne, « les yeux dans les yeux », et dans sur les ondes)
Continuez de parler vrai, et toujours avec humour !