Cher Claude Askolovitch,
Je ne veux pas vous laisser quitter la revue de presse sans vous remercier pour toutes ces années : vous étiez mon moment de poésie de la journée, avec le choix des sujets dont vous parliez, avec votre diction, le rythme de votre parole. Souvent il y avait des nouvelles jolies, positives, au milieu de tous les sujets angoissants au milieu desquels nous naviguons ces dernières années. Donc merci du fond du coeur. J'ai compris que vous ne quittez pas complètement France-Inter, mais ce sera moins souvent, à une heure moins évidente pour moi. Mais au moins retrouverez-vous un rythme plus normal, au moins pourrez-vous dormir le matin ! Merci vraiment,