Dans sa chronique d'aujourd'hui, votre politologue, qui décrypte les mots, nous accable par deux fois d'un "les agriculteurs et les agricultrices" (où sont les non-binaires, les gender fluid et tous les +++ ?) pour nous achever du grotesque "celles et ceux" dont se gargarisent certains hommes politiques. Par pitié, contentez-vous de nous parler français et si vous désirez afficher votre progressisme de manière aussi ostentatoire, ne le faites pas sur les chaînes du service public. Elles appartiennent davantage aux usagers payants que vous avez le devoir de respecter qu'aux journalistes salariés, rémunérés, eux, pour informer et non pour afficher leurs convictions politiques.