Les auditeurs dénoncent régulièrement le relâchement du français de vos journalistes, entre autre la façon dont ils formulent leurs questions. Samedi midi, suite aux problèmes causés par la fermeture de la Seine au niveau de Notre-Dame, le journaliste responsable de la tranche horaire – on suppose que ça n'est pas n'importe qui – reçoit le représentant des bateaux-mouches : "c’est quoi… ?". Ce à quoi son invité répond : "Ça signifie… ". Un simple représentant d'un corps de métier s'exprime de manière plus soignée qu'un journaliste de radio d'une chaîne nationale. Malgré toutes les doléances des auditeurs, certains de vos collègues sont visiblement imperméables à la question de la langue française. C'est désolant.